Paroisse du Divin Sauveur
Quelques informations architecturales et artistiques sur l’église et la chapelle de la paroisse.
 

L'historique

La naissance d’une nouvelle paroisse dans le quartier de Linthout est le résultat, en 1933, d’accords passés entre les paroisses de Saint-Albert et Saint-Henri. Voilà donc deux parrains pour tenir le Divin Sauveur sur les fonts baptismaux le 13 décembre 1933, année du 1900^ème anniversaire de la Rédemption qui lui apporta son nom divin et salvateur.

Une chapelle provisoire avenue des Cerisiers abrita les premiers offices. Deux ans plus tard l’architecte Léonard Homez fut le concepteur d’une charmante petite église d’un sage art-déco (1935-1937), subsidiée en grosse partie par madame Pauline Waucquez.
Un clocher devait couronner l’église mais la guerre en décida autrement.
 

 
 
Projet d’un campanile laissé en l’état d’un photo-montage,
archives Léonard Homez.

Dans les années ’60, le Conseil de la fabrique d’église se lança dans une opération d’agrandissementrendue nécessaire par l’augmentation de la population.
La réalisation fut confiée à Jean Dehasse, jeune architecte et paroissien.
Son travail s’intègre admirablement bien à l’ancien bâtiment au point que beaucoup ignorent ce dédoublement de l’édifice.

Les vitraux

De superbes vitraux contemporains
décorent toutes les fenêtres de
l’église et de la chapelle.
On les doit aux talents conjugués
de Maurits Nevens
et Herman Mortier pour la chapelle, le chœur et le transept
et de Pierre Majeruspour la nef
et le jubé.

Une des dix fenêtres de la nef
habillée de couleurs et de lumières
par Pierre Majerus, 1985.
Cliché: Gème
 

Œuvres ornant les murs 

Christ en croix en bronze de Jef Lambeaux.

Les quatorze stations du Chemin de croix sont dues
au pinceau orientaliste d’Isidore Van Mens. 

 
             Vierge baroque en chêne,